Ce, écrit et réalisé par Cécile Denjean en 2012 et coproduit par CNRS Images, invite à la découverte de cette matière noire, dans lespace, sous terre, dans les mers. Première diffusion sur Arte le 13 décembre 2012 à 22h50. Leadership, comportements et sociologie des organisations, Ecole dAffaires Publiques avec H. Bergeron Les femmes porteuses dune mutation BRCA1 ou BRCA2 sont à haut risque de développer un cancer du sein à un âge précoce Jernstrom H, Lubinski J, Lynch H.T, Ghadirian P, Neuhausen S, Isaacs C, and al. Breast-feeding and the risk of breast cancer in BRCA1 and BRCA2 mutation carriers J Natl Cancer Inst 2004 ; 96 : 1094-1098 2012 : Débat à luniversité de Strasbourg pour la Mission présidentielle dirigée par D. Sicart sur laccompagnement de la fin de la vie. 22 Septembre 2012. Organisatrice : MF Bacqué, Strasbourg Introduction : Les instillations intravésicales de BCG ou de mitomycine C sont le traitement de référence des tumeurs de la vessie ninfiltrant pas le muscle TVNIM. Ces recommandations ont pour objectif doptimiser la réalisation des instillations endovésicales de BCG ou de mitomycine C pour une meilleure efficacité carcinologique et une moindre morbidité. Le lien psyché-soma dans lapproche thérapeutique du sujet : 10HCM 15ETD Désolé, votre navigateur ne peut pas lire cette vidéo La technique la plus établie semble être la fécondation in vitro FIV avec congélation dembryons Chabbert-Buffet N, Uzan C, Gligorov J, Delaloge S, Rouzier R, Uzan S. Pregnancy after breast cancer: a need for global patient care, starting before adjuvant therapy Surg Oncol 2010 ; 19 : e47-e55 multitraités en échec thérapeutique. Augmenter le 19La perte de poids est fréquente chez les personnes souffrant dun cancer bronchique Hébuterne et al, 2013. Lorsquelles sont prises en charge dans des services portant de lintérêt à cette contrainte nutritionnelle, elles sont informées des complications que la perte de poids engendre pour la prise en charge médicale et bénéficient de conseils diététiques tant préventifs que thérapeutiques Meuric et Besnard, 2012. De plus, les représentations sociales du cancer, du corps amaigri et du corps malade Reich, 2009 ; Cousson-Gélie et al, 2009 engendrent une prise de conscience de limportance du maintien du poids. Deux logiques dadaptations nutritionnelles sobservent. La première sinscrit dans la dynamique des conseils diététiques denrichissement et de fractionnement des prises alimentaires Meuric et Besnard, 2012 amenant les malades à mettre en place des stratégies pour ne pas maigrir. Cette logique se traduit dune part par une valorisation de léquilibre alimentaire par la consommation de catégories daliments identifiées comme étant nutritionnellement bénéfiques pour la santé comme les fruits, les légumes, les produits de la mer, la viande, les produits laitiers et les féculents. Et dautre part, elle se caractérise par une augmentation de lapport énergétique journalier via laugmentation des prises alimentaires au cours de la journée trois repas et collations, mais aussi par la valorisation de certaines catégories daliments et de boissons réputées pour leurs densités nutritionnelles fromage, charcuterie, beurre, pain, sodas. Les proches résidant avec les malades peuvent avoir un rôle particulier en impulsant par exemple la mise en place de collations institutionnalisées Poulain, 2001 voire en consommant eux-mêmes des CNO avec les malades. Cependant, ces stratégies dadaptation nutritionnelles tendent à nêtre appliquées que lors des situations dinconfort et surtout suite à la rupture chimiothérapique renforcée. Nous relevons une autre forme de logique se caractérisant par une nouvelle catégorisation alimentaire renvoyant à des nourritures dites incompatibles ou bénéfiques pour lutter contre le cancer. Indépendant des sensibilisations faites par le personnel soignant, mais aussi des caractéristiques sociodémographiques et socio-économiques des malades, ce nouveau rapport aux nourritures sobserve chez les malades ayant mobilisé leurs proches et ayant eu recours à des autorités non conventionnelles Cohen et Legrand, 2011 pour obtenir de linformation relative à leur alimentation. La viande, les produits laitiers, les féculents, les sodas et les jus de fruits sont identifiés par certains malades comme des nourritures venant nourrir le cancer, alors quelles sont définies par dautres comme nutritionnellement bénéfiques pour la santé. Seul lalcool ne présente pas cette ambivalence. De plus, en se référant directement aux recommandations prônées par les acteurs du monde non conventionnel, certains malades déclarent privilégier la consommation de pain complet, de chou, de produits bio, de fruits rouges, de curcuma, etc. ; et au contraire supprimer certaines viandes, les graisses dorigine animale, lhuile de palme, certains additifs, etc. Cette nouvelle catégorisation alimentaire nécessite des adaptations et apprentissages tant au niveau de lachat lieux dapprovisionnement, choix des produits, lecture des étiquettes et des préparations culinaires utilisation de nouveaux produits et condiments quau cours de la consommation elle-même préférences et rejets alimentaires. Elle est aujourdhui bouleversée par deux phénomènes majeurs. Bacqué M-F, 2008 Lannonce fonctionnelle dun cancer au détriment de la personne. 2d congrès international de psychopathologie et psychanalyse du lien social. Strasbourg Rapport sur la situation du cancer en France en 2012-INCa Bacqué M-F, 2003 Abord et psychothérapie individuelle dadultes et denfants présentant un deuil post-traumatique. Études sur la mort. 123: 131-40. Depuis la remise des recommandations du Pr Vernant, P. Guillou, Puel M-A, Jaury P. Velluet L. Bacqué M-F 2008 Culture Balint et cancers. Psycho-oncologie, 2 : 277-81. 21 pour la phase pré et post-diagnostic, 1 pour cycle 1, 19 pour le cycle 2, 8 pour le cycle 3, 4 pour le cycle 4 et 7 pour le cycle 5. Nous avons rencontré 5 fois 3 malades, 4 fois 3 malades, 3 fois 5 malades, 2 fois 8 malades et 1 seule fois 2 malades.