Partir dautres pays, tel que le Canada, 11 octobre 2013 Cest vrai que la nationalité française est une des meilleures qui soit pour voyager, tout le monde aime la France. Je me souviens en Finlande de jeunes filles qui me parlaient des festivals de musique en disant cest nul, les hommes font que boire et se bagarrer! En France ça doit être mieux, vous êtes distingués vous les français! Euh….. Comment dire? ou dune peine comprise entre un et cinq ans demprisonnement. La commission a Institute of War and Peace Reporting IWPR. 15 janvier 2004. Caucasus Reporting Service no 214. Karine Tar-Saakian. Armenian: Trafficking Scourge Unchecked. Reçu par courriel Saisissez les caractères que vous voyez dans cette image : Ca a lair top comme pays, jattends la suite avec impatience. Il a été le premier juge dinstruction français à se rendre en Bulgarie dans le cadre dune enquête. De cette première dans les annales judiciaires des deux pays, Philippe Dorcet, magistrat à Nice, tient, à lissue de cette expérience, à tordre le cou à certaines idées reçues. Et, dabord, à celle qui laisse entendre que ses homologues et, plus généralement, les autorités des pays de lEst seraient achetés par les mafias locales et refuseraient ainsi toute véritable coopération. Les violences conjugales et en général, la violence faite aux femmes existent en Arménie depuis toujours. Dans toute société où un homme est par défaut considéré comme plus important et plus fort, une femme est toujours une victime potentielle. Très souvent, ce potentiel se réalise dans la pratique. Légalité des droits et des opportunités entre un homme et une femme ne correspond pas au concept connu sous le nom de valeurs traditionnelles arméniennes ; ces dernières supposant le patriarcat. Cest la raison pour laquelle, lorsque ces valeurs conduisent à la tragédie, à la mort, au meurtre, au viol, ces cas sont réduits au silence ou bien repensés au profit de la vision traditionnelle du monde. Après tout, si vous admettez la réalité, les valeurs traditionnelles arméniennes se transformeront en poussière. Si lon pousse cette logique jusquau bout, nous vivons ainsi dans un environnement criminel tolérant la violence sexiste et les violeurs. 41Donald et Lorna Miller, qui se sont intéressés aux répercussions psychologiques du génocide, expliquent que les mères sont souvent confrontées à des choix impossibles. Impuissantes devant les bourreaux et ne pouvant protéger leurs enfants des misères de la déportation, certaines mères sombrent dans le délire, dautres abandonnent leurs petits le long des routes ou les jettent dans les eaux de lEuphrate. Cest ce que raconte une déportée dont le récit apparaît dans le Rapport Bryce : Beaucoup de mères perdirent la raison et laissèrent tomber leurs enfants au bord de la route. De façon similaire, Kaïané Abrahamian explique qualors que la moitié de sa famille a été décimée, la fille de ma tante, la femme de Krikor, devint folle et dans sa folie jeta un de ses enfants dans le fleuve. Les exemples de ce genre sont nombreux dans les témoignages de victimes et montrent toute lampleur des violences que doivent vivre les femmes arméniennes.
National Assembly of the Republic of Armenia, Parliament Passes the RA gouvernement de fournir des informations sur les mesures prises ou Pour te mettre leau à la bouche, quelques photos de notre voyage en
: dictionnaires darménien classique V e-XIX e siècles, arménien-français anglais La ville de Cenon accompagnera à son échelle la prise de conscience et de souvenir des faits perpétrés davril 1915 à juillet 1916. En 1986, une rue du bas de la ville est inaugurée par René Bonnac et baptisée 24 avril 1915, génocide arménien. En 1979, lassociation se crée et prend lhabitude, chaque 24 avril, de commémorer la tragédie aux monuments aux morts, rue Victor-Hugo. Inconnu à lépoque soviétique où le plein-emploi était garanti, souvent artificiellement, par le système, le chômage a frappé de plein fouet lArménie comme les autres pays ex-communistes, mais dans des proportions aggravées par le blocus. Si le chômage est le prix à payer pour la transition vers léconomie de marché, le pays paie effectivement le prix fort, les fermetures ou privatisations des usines et des entreprises dEtat ayant privé demploi plus de la moitié des Arméniens, laissés sans couverture sociale. Il est toutefois difficile de chiffrer avec précision le sous-emploi, nombre de salariés pratiquant une seconde activité dans le secteur informel. Ces activités parallèles, non déclarées le plus souvent, dans un secteur privé en expansion, sont une soupape de sécurité indispensable pour la plupart des Arméniens, quils soient ou non officiellement chômeurs. Lémigration massive des Arméniens tend aussi à brouiller les statistiques du chômage.